La seule bonne écriture est « vigilant ». Mais il existe bien le mot « vigilent » qui est en fait le verbe vigiler qui veut dire surveiller. En raison des nombreuses règles qui régissent la langue française, nombreux sont ceux qui se perdent. On ne sait plus trop comment orthographier les mots à cause des homophonies et autres caractères. Parmi les erreurs courantes que nous commentons, l'écriture de « vigilant ».  « Vigilant » s'écrit avec un « a » en français Au moment d’écrire « vigilant », on hésite souvent. Ce mot s'écrit-il avec un « a » [...]

« M’entend-t-il » est incorrect car la le verbe termine par la lettre « d » et donc il suffit à produire le son phonétiquement « t ». Disons-le d’emblée, le « t » euphonique n’a vraiment pas sa place ici. La règle est sans équivoque, la lettre « t » et la lettre « d » qui terminent un verbe à la forme interrogative suffisent à produire le son « t » quand elles sont suivies d’une voyelle. Il ne faut donc pas tomber dans l’alléchant raccourci et mettre la lettre « t » là où elle ne devrait pas être. Les exemples suivants [...]

Lequel d’entre nous n’a jamais hésité sur l’accord du mot « ouvert » dans la phrase « nous sommes ouverts » ? Doit-il se mettre au singulier ou au pluriel ? Comment accorder le pronom « nous » avec « ouvert » ? Comment accorder la phrase « nous sommes ouverts » ? Pour répondre à cette question, rappelons la règle de l’accord des adjectifs. Un adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom qu’il qualifie. Exemples : Ma jupe est déchirée. Les enfants sont malades. La maison du président est grande. Dans la phrase « nous sommes ouverts », le mot « ouvert », dérivé du verbe « ouvrir », [...]

La seule bonne écriture est « langage », l'écrire avec un « u » est donc une faute de français. Vous avez sûrement déjà entendu parler des faux amis dans la langue française ? « Langage » en est un. On pense savoir bien l’orthographier, mais de temps en temps, on fait l’erreur de l’écrire avec un « u ». Oui, « langage » s’écrit bien sans « u ». La règle du « g » doux et du « g » dur en français Il faut dire de la langue française nous complique bien la vie. En français, les règles grammaticales sont pléthores et [...]

« Sur » est invariable et la préposition indique une position plus élevée. Exemple « Met mon ballon sur la table s'il te plait. ». « Sûr » est un adjectif et s'accorde, exemple « Je suis sûr de moi. ». Quand on n’est pas sûr de ce que l’on va dire sur un fruit sur, il vaut mieux assurément se taire, pour employer une locution moins triviale plutôt courante en français. Le dire ne comporte pas autant de difficulté que l’écrire, car il faut éviter la confusion entre ces deux homonymes.  Quand [...]

« Cent » est un adjectif numéraux cardinaux. Il prend un « s » quand celui-ci est suivi directement par un déterminant numéral. Les règles d’accord de la langue française portent parfois à confusion. Aujourd’hui, parlons de « cent ou cents ». Quelle est la bonne orthographe ? Dans quel contexte devons-nous mettre un « s » à la fin de « cent » ? Nous allons l’étudier de près pour éviter des erreurs fatales à l’écrit. La forme « cent » en français Alors qu’on croit maitriser les diverses règles orthographiques et syntaxiques, les exceptions nous induisent en erreur. Lorsque nous [...]

Les deux écritures existent en français. « Gril » est la grille qui est placée au-dessus d'un foyer et « grill » est le lieu où l'on mange des aliments grillés. Quand faut-il écrire gril avec un seul « l » ? Quand l’écrire avec deux « l » ? Quelle est la différence entre « gril » et « grill » ? Les confusions homophoniques nous induisent souvent en erreur. Nous commettons parfois des fautes par omission, par simple ignorance ou sans même en avoir conscience. Aussi, nous avons décidé de vous rafraîchir un peu la mémoire en parlant de l’orthographe du mot « gril ». [...]

Pour mieux comprendre le sens de l’expression « en mains propres », il nous faut nous référer à l’étymologie. Propre vient du latin « proprius » qui veut dire à soi, que l’on ne partage pas avec quelqu’un d’autre. Ainsi, ce n’est pas la propreté des mains qui donnent ou qui reçoivent qui est ici mise en question, mais l’identité de celui (celle) qui apporte la chose en question et le récipiendaire à qui cette chose est destinée. Le valet a remis le billet doux à la dulcinée de son maître en main propre. Dépêchez-vous de remettre ce bilan en mains propres au chef [...]