« Compréhensible » définit quelque chose qui peut être compris. On l’utilise pour qualifier une information intelligible ou quelque chose de concevable. « Compréhensif » ne s'emploie que pour qualifier une personne. Les mots « compréhensible » et « compréhensifs » existent bien en français et ils sont écrits dans la forme correcte. Ces deux adjectifs sont de la même famille, mais ce sont les suffixes qui les différencient principalement.On a, en effet, tendance à confondre l’emploi de ces deux mots, de sorte que « compréhensible » est souvent utilisé à la place de « compréhensif » et vice-versa.Quand faut-il employer « compréhensible » ?L’adjectif compréhensible [...]

« Peut-être » est utilisé pour indiquer un doute, une incertitude ou une supposition. Pour savoir si l'on peut l'utiliser, il suffit de le remplacer par probablement. « Peut être » est utilisé dans les autres cas. « Peut-être » et « peut être » sont deux locutions française admises. Elles n’ont toutefois pas la même signification. Si elles se prononcent de la même manière, à l’écrit, un simple trait d’union leur confère une signification différente. Comment faut-il utiliser les utiliser ? Comment utiliser « peut-être » avec un trait d’union ? C’est un [...]

« Légitimer » est la seule bonne réponse. « Légitimiser » est une faute de français. Entre « légitimer » et « légitimiser », votre cœur balance. Face à ces deux mots, l’hésitation est grande. Pourtant, un seul d’entre eux est correct. Découvrez lequel. Quel est le piège du suffixe « -iser » ? Si l’on hésite autant entre « légitimer » et « légitimiser », c’est bien à cause du suffixe « -iser ».En français celui-ci est utilisé pour exprimer la transformation à partir d’un adjectif et ainsi donner un verbe d’action. Le suffixe « -iser » donne [...]

« Censé » inclut une idée d’argument logique quant à « sensé » il implique une idée de constat à la pertinence d’un fait ou d’une idée. Les deux mots sont correctement orthographiés. Homophones sans être homonymes, ils ne devraient pas s’employer l’un à la place de l’autre. Le mot censé nous vient du verbe de l’ancien français qui signifie juger, penser. Ce mot est de la même famille que censure et censeur. Le latin censere, à l’origine du mot, veut dire réputer et les synonymes ci-après nous donnent une vue générale de sa signification : [...]

« Quoique » permet d'inclure quelque chose qui ne semble a priori ne pas pouvoir cadrer avec l’idée de la proposition suivante. « Quoi que » quant à elle introduit une idée de contraste entre deux propositions. La conclusion est déjà acquise quand la mise en parallèle de deux affirmations est établie. En français « quoique » et « quoi que » sont deux locutions qui se prononcent de la même manière, mais qui s’emploient différemment parce qu’elles ne disent pas la même chose. Si l’une est une conjonction de subordination qui s’écrit en [...]

« Bien que » est toujours suivi du subjonctif elle permet d'exprimer une concession. « Malgré que » quant à lui doit respecter cette règle malgré que + pronom personnel sujet + verbe avoir au subjonctif, celle-ci permet de compléter l'explication précédemment faite. En français dans le langage de tous les jours, on est souvent tenté d’employer l’une ou l’autre forme en pensant que ces deux locutions conjonctives sont équivalentes. Pourtant, même si les ressemblances sont frappantes, on ne doit pas les utiliser de la même manière. Il est vrai que les deux locutions [...]

« De tout temps » dans cette phrase, « tout » introduit alors le « temps » au singulier. « De tous temps » avec un -s veut dire à tous les temps, exemple « De tous temps le soleil se couche à l'ouest ». La langue française est pleine de ces subtilités qui marquent une nuance entre une locution et une autre même si ce n’est qu’une question de singulier et de pluriel. Ainsi, même si la frontière entre les deux significations semble mince, « de tout temps » avec un –t et « de tous [...]

« Quatre » est un adjectif cardinal, ce type d'adjectif est INVARIABLE. La seule bonne orthographe est donc « quatre ». En français l’adjectif cardinal quatre est comme tous les autres, invariable. Qu’il soit précédé d’un article pluriel ou qu’il soit suivi d’un nom au pluriel. Son orthographe reste « quatre ». Les quatre points cardinaux sont le nord, le sud, l’est et l’ouest. Quatre as donnent la combinaison gagnante au poker. Les quatre pattes du chien expliquent pourquoi il court plus vite que l’homme. Cette berline est munie de quatre portes. L’emploi de [...]